Certaines caisses de pension permettent d’adapter leur règlement de prévoyance afin que l’assuré(e) puisse définir, à l’intérieur des deux premiers cercles des bénéficiaires, un droit au capital provenant du deuxième pilier différent de celui prévu actuellement par la loi.
Pourquoi est-ce nécessaire ?
La société est en constante évolution et dans le cadre des familles recomposées, des injustices pourraient survenir.
De quoi parle-t-on ?
Jusqu’ici, en cas de décès d’un assuré divorcé ayant deux enfants, de 15 et 27 ans par exemple, l’orphelin âgé de 15 ans profite de la rente temporaire conformément au plan de prévoyance en sus du capital décès, tandis que l’enfant de 27 ans ne peut prétendre à aucun droit sur l’avoir de prévoyance versé suite à un décès.
Que puis-je faire pour éviter cela ?
Pour autant que le règlement de la caisse de pension le permette, l’assuré peut informer son institution de prévoyance de sa volonté de répartir de manière paritaire le droit au capital par exemple.
En cas de remariage, des situations complexes peuvent également apparaitre, surtout quand le règlement de l’IP ne permet pas de répartir le capital. Que faut-il faire dans ce cas ?
Nos experts sont à votre disposition pour répondre à toutes ces questions alors n’hésitez pas à contacter Argos Group ! Nous vous répondrons dans les plus brefs délais.