Dès 2018, les prestations qui demandent moins de temps que dans le passé grâce aux progrès médicaux-techniques verront leurs rémunérations revues à la baisse. Les positions tarifaires facturées par les médecins en l’absence des patients, telles la consultation de documents, les entretiens avec des experts ou des proches, devront être davantage détaillées et seront limitées.
Ces adaptations transitoires décidées par le Conseil fédéral permettront d’économiser près de 470 millions de francs par année, ce qui correspond à environ 1,5 % des primes maladies.
Le Conseil fédéral a aussi fixé la structure tarifaire applicable dès 2018 aux prestations de physiothérapie.